Un soir, je viens d'ouvrir la portière de mon véhicule, mon pied gauche qui pose sur le sol. Suite de mon geste, je prends mon arbalète et je sors de la voiture en regardant attentivement l'état des lieux.

Ensuite, je ferme la portière et je me dirige vers l'arrière de la maison avec une expression neutre. Je me tourne pour m'assurer si une personne ou plusieurs personnes qui me regarde avant de passer à l'étape suivante. Tout de suite, je remarque que ce n'est pas le cas et je décide ouvrir la porte en pénétrant à l'intérieur.

Peu après je suis à l'intérieur, je sors mon portable pour activer le mode lampe pour éclairer la pièce. Rapidement, je remarque qu'il y avait beaucoup de sang sur les murs, sol, les meubles, cassés, mais cependant, je perçois une main au sol qui dépassait le bureau. À ce moment-là, je dépose mon arme sur une des chaises en me dirigeant vers le bureau pour avoir le cœur net.

Soudain, lorsque que je me suis rapproché, je remarque qu'il y avait juste la main et non le corps entier. Je décide de me baisser doucement en prenant la main de la victime et je commence à l'examiner.

" Je suis navré pour toi... Tu as perdu ta main ! Je ne voudrais pas être à ta place ! Je voudrais bien savoir qui t'aurait fait ça ! "

Voilà... Encore une fois, je recommençais à parler tout seul comme un imbécile, mais pour moi, c'est juste une question d'habitude. Au bout de quelques minutes, je repose la main de la victime au sol en me redressant. Je me tourne pour récupérer mon arme pour ensuite avancer pour aller vers la porte.

Cependant, lorsque je voulais l'ouvrir, je remarque que la porte est fermée et c'est impossible à l'ouvrir. C'est alors que je décide de faire un demi-tour jusqu'à ce que j'entends quelqu'un qui vient de rentrer dans cette maison abandonné. Je fronce légèrement mes sourcils et je quitte la pièce pour faire un grand tour.

Lorsque je suis arrivé devant l'entrée, je déplace ma main gauche pour pouvoir pousser la porte et je passe de l'autre côté en pointant mon arme. En effet, je suis très prudent. Je remarque qu'il y a une jeune femme. don je ne l'ai pas reconu sur le moment. C'est alors que je baisse légèrement mon arme avec une expression sérieuse et je décide de me rapprocher vers elle, mais avec prudence.

"A votre place, je ne ferai plus un geste !"

En effet, si je suis ici, c'est parce que mon demi-frère m'a informé ce qui c'est passé et qui m'a donné les cordonnés pour pouvoir me rendre sur les lieux.